Rlucas, cela donnerait quelque chose comme ça :
La clause DISTINCT ON (colonnes ou ensemble de colonnes) https://www.postgresql.org/docs/9.5/sql … L-DISTINCT ne garde pour chaque colonne ou ensemble de colonnes que le premier rĂ©sultat, les suivants sont retirĂ©s.
En l'occurrence, couplé à un tri sur la distance, cette clause conserve le point projeté sur la ligne le plus proche du point...
Par ailleurs, dans le cas où il existerait plusieurs lignes situées à une même distance d'un point, cette clause ne conserve tout de même qu'un résultat, à la différence de l'utilisation de la fonction de fenêtrage RANK qui en a été faite, qui aurait retourné plusieurs points projetés.
En outre, il a été intégré dans la requête le dump des lignes.
Enfin, grâce à la fonction ST_GeometryN(geom,Nième_Point) https://postgis.net/docs/ST_GeometryN.html, la requête est capable de travailler avec des Points contenus dans une table dont le type géométrique a été renseigné comme étant MultiPoint.
Pour ne pas créer de liens pour les points qui se trouvent déjà sur une ligne, la méthode la moins coûteuse en temps que j'ai pu trouver est de supprimer à la fin de la requête ces points-là :
Sam
Bonjour
Ă la base c'Ă©tait une table
J'ai un problème avec la projection de ma couche depuis hier, j'ai
convertis les dms en dd, et lorsque je l'affiche, elle se retrouve sur l'atlantique
Je pense pourtant avoir choisis le bonne projection (WGS 84)
je travaille avec la pro. (que je maitrise pas d'ailleurs, très compliquée )
Merci
Entreprise
Magellium est une sociĂ©tĂ© innovante de plus de 130 collaborateurs, spĂ©cialisĂ©e dans le domaine de la gĂ©o-information et du traitement d’image. Au sein de Magellium, l’unitĂ© Earth Observation est en charge des activitĂ©s de traitement d’images d’origine spatiale. Ses domaines d’expertise sont :
• La gĂ©omĂ©trie des capteurs & le traitement d’image
• La calibration/validation & le contrĂ´le qualitĂ©
• Les services d’observation de la Terre
Pour ces projets concernant le traitement d’image, Magellium propose le stage suivant :
Contexte
La rectification des images, comme la production de scènes 3D, suppose l’utilisation de modèles de localisation prĂ©cis. Les incertitudes sur ces modèles en font partie intĂ©grante, et doivent ĂŞtre minimisĂ©es en tenant compte d’observations exogènes. Il s’agit ici de proposer et d’Ă©tudier de nouvelles mĂ©thodes mathĂ©matiques pour optimiser les modèles.
Sujet
Magellium exploite rĂ©gulièrement des modèles mathĂ©matiques pour associer les pixels des images Ă des coordonnĂ©es terrain. Ces modèles sont connus avec une certaine prĂ©cision, et doivent ĂŞtre affinĂ©s en tenant compte d’informations exogènes liĂ©es au contexte d’acquisition : acquisitions simultanĂ©es, observations (points d’appuis), modèles de terrain…
Une méthode existe déjà , basée sur des algorithmes de minimisation au sens des moindres carrés.
Le candidat aura pour objectifs :
• De proposer des nouvelles pistes innovantes, Ă la fois pour poser le problème et pour le rĂ©soudre
• De prototyper et Ă©valuer les mĂ©thodes candidates
Les travaux seront rĂ©alisĂ©s en python, C++ et/ou MATLAB, en s’appuyant sur des frameworks tels que numpy/scipy, Eigen ou ceres-solver, et un framework mĂ©tier Magellium.
Le candidat travaillera en collaboration avec les experts gĂ©omĂ©trie pour poser les contextes d’expĂ©rimentation, dĂ©finir les axes de travail et dĂ©terminer les principes d’Ă©valuation des nouvelles mĂ©thodes (prĂ©cision, temps de calcul…). Il sera en autonomie sur la dĂ©finition et la mise au point de ces mĂ©thodes.
Mots clés : Prototypage, optimisation numérique, modélisation géométrique, spatio-triangulation, imagerie satellite
Mots clés informatiques : Python, C++, MATLAB
Mots clés transverses : autonomie, proactivité, innovation
Profils : DĂ©veloppeur
Durée : 4-6 mois
Contact : recrutement AT magellium.fr
https://www.magellium.com/who-we-are/#joinus
Stage 4 Ă 6 mois
Entreprise
Magellium est une sociĂ©tĂ© innovante de plus de 130 collaborateurs, spĂ©cialisĂ©e dans le domaine de la gĂ©o-information et du traitement d’image. Au sein de Magellium, l’unitĂ© Earth Observation est en charge des activitĂ©s de traitement d’images d’origine spatiale. Ses domaines d’expertise sont :
• La gĂ©omĂ©trie des capteurs & le traitement d’image
• La calibration/validation & le contrĂ´le qualitĂ©
• Les services d’observation de la Terre
Pour ces projets concernant le traitement d’image, Magellium propose le stage suivant :
Contexte
Un modèle numĂ©rique de terrain (MNT) est une reprĂ©sentation de l’altitude de la surface terrestre sans le sursol (bâtiment, vĂ©gĂ©tation…). Ces modèles sont indispensables pour l’exploitation des donnĂ©es images satellitaires. A l’Ă©chelle continentale (ou mĂŞme nationale), ils sont en gĂ©nĂ©ral calculĂ©s avec du radar ou par stĂ©rĂ©o-vision mais en conservant le sursol, on parle alors de modèle numĂ©rique de surface (MNS).
Sujet
Magellium a dĂ©veloppĂ© un algorithme de gĂ©nĂ©ration de MNS en adaptant des algorithmes Ă©tat de l’art de Computer Vision Ă la gĂ©omĂ©trie des capteurs push-broom (ex : PlĂ©iades). L’objectif du stage est de prototyper un algorithme d’Ă©limination de la contribution du sursol pour produire un MNT.
Le candidat aura pour objectifs :
• De produire une bibliographie de l’Ă©tat de l’art des techniques de gĂ©nĂ©ration de MNT Ă partir de MNS
• De prototyper et Ă©valuer les algorithmes candidats
Les travaux seront rĂ©alisĂ©s en C++ en s’appuyant sur des frameworks tels qu’OpenCV, GDAL et un framework mĂ©tier Magellium.
L’Ă©valuation des performances de la mĂ©thode sera menĂ©e sur des images diachroniques de la mĂŞme zone utilisant le mĂŞme capteur : diffĂ©rents couples d’images PlĂ©iades acquises Ă des dates diffĂ©rentes. On observera notamment la robustesse aux ombres, au bruit et Ă la typologie de la scène (vĂ©gĂ©tation, bâti…).
Ce stage, comportant une composante de dĂ©veloppement importante, sera encadrĂ© par un expert logiciel/mĂ©tier afin de garantir une première expĂ©rience d’ingĂ©nierie rĂ©ussie, riche d’enseignements et de bonnes pratiques pour le candidat. Le travail sera rĂ©alisĂ© en agilitĂ© (SCRUM), dans un cadre structurĂ©. Le pĂ©rimètre technique pourra ainsi Ă©voluer au fur et Ă mesure de la montĂ©e en compĂ©tence du candidat.
Mots clés
Développement logiciel, prototypage, modèle numérique de terrain, nuage de point, spatio-triangulation
Mots clés informatiques
C++
Mots clés transverses
autonomie, proactivité, innovation.
Profils : DĂ©veloppeur
Durée : 4-6 mois
Contact : recrutement AT magellium.fr
https://www.magellium.com/who-we-are/#joinus
Entreprise
Magellium est une sociĂ©tĂ© innovante de plus de 130 collaborateurs, spĂ©cialisĂ©e dans le domaine de la gĂ©o-information et du traitement d’image. Au sein de Magellium, l’unitĂ© Earth Observation est en charge des activitĂ©s de traitement d’images d’origine spatiale. Ses domaines d’expertise sont :
• La gĂ©omĂ©trie des capteurs & le traitement d’image
• La calibration/validation & le contrĂ´le qualitĂ©
• Les services d’observation de la Terre
Pour ces projets concernant le traitement d’image, Magellium propose le stage suivant :
Contexte
Le Deep Learning est une mĂ©thode d’apprentissage automatique très efficace mais qui nĂ©cessite une importante quantitĂ© de donnĂ©es labellisĂ©es pour obtenir un rĂ©sultat satisfaisant. La constitution manuelle de cette base de donnĂ©es est fastidieuse mais pourrait ĂŞtre considĂ©rablement optimisĂ©e avec des logiciels de labellisation dĂ©diĂ©s, collaboratifs, et dotĂ©s d’outils d’assistance semi-automatique.
Sujet
Depuis quelques annĂ©es, Magellium structure une activitĂ© Deep Learning autour du traitement d’image : segmentation, dĂ©tection, classification… Ces algorithmes nĂ©cessitent une base de donnĂ©es d’apprentissage qui souvent doit ĂŞtre constituĂ©e pour l’occasion, par saisie et labellisation manuelle en utilisant des logiciels gĂ©nĂ©ralistes (GIMP, QGIS…) et des scripts dĂ©veloppĂ©s en interne. La saisie consiste Ă tracer des masques vectoriels ou binaires sur les zones d’intĂ©rĂŞt d’une image et Ă les labelliser en leur assignant un nom de classe de façon Ă constituer une base de donnĂ©es d’apprentissage.
Le stage proposĂ© consiste Ă dĂ©velopper une plateforme collaborative de labellisation dotĂ©e d’outil d’assistance Ă la saisie, en tirant avantage des technologies du web.
Le candidat aura pour objectif :
• D’Ă©tudier les alternatives open source existantes
• De recueillir le besoin auprès des experts
• De concevoir et maquetter, puis prototyper l’application
Les travaux seront rĂ©alisĂ©s en grande partie en javascript, en utilisant les frameworks web open source courants, voire WebAssembly si les performances des outils d’assistance Ă la saisie le nĂ©cessite.
Ce stage, comportant une composante de dĂ©veloppement importante, sera encadrĂ© par un expert logiciel/mĂ©tier afin de garantir une première expĂ©rience d’ingĂ©nierie rĂ©ussie, riche d’enseignements et de bonnes pratiques pour le candidat. Le travail sera rĂ©alisĂ© en agilitĂ©, dans un cadre structurĂ©. Le pĂ©rimètre technique pourra ainsi Ă©voluer au fur et Ă mesure de la montĂ©e en compĂ©tence du candidat.
Mots clés
DĂ©veloppement logiciel, framework web, javascript, deep learning
Mots clés informatiques
Framework web, javascript
Mots clés transverses
Autonomie, proactivité, innovation.
Profils : DĂ©veloppeur
Durée : 4-6 mois
Contact : recrutement AT magellium.fr.
Bonjour,
Merci pour vos retours.
Malgré la purge du cache, j'ai toujours le message d'erreur suivant pour les serveurs WMS et WMTS :
Échec du téléchargement des possibilités:
Purge des possibilités : Erreur inconnue
Je suis sur Linux avec la révision 383851c, donc si ça marche pour Windows, ça serait un bug lié à la version de mon OS ? Quelqu'un pour essayer sur Linux ?
Merci, LSam
L'équipe programme des journées QGIS vous offre un délai jusqu'à mercredi 21 Novembre au soir pour proposer vos présentations !
A vos résumés!
Régis pour l'équipe d'organisation des journées QGIS Montpellier
Bonjour,
1. Il faut dupliquer le calque des parcelles (par ex PARCELLE_TEMPORAIRE) : Covadis Edition / Calques / Recopier tout un calque
2. DĂ©composer toutes les polylignes du calque PARCELLE_TEMPORAIRE pour n'avoir que des lignes
3. insérer un point topographique à chaque intersection d'une ligne avec la polyligne 3D : Covadis Echanges / Echanges Profils Piste / Interpolation profils
- valider un point topo (cocher en 3D / attribut altitude en automatique)
- cocher Interpolation sur lignes caractéristiques
- indiquer le calque PARCELLE_TEMPORAIRE comme calque des profils
- indiquer le calque de la poly3D comme calque des lignes caractéristiques
Olivier
Bonjour,
Pour continuer sur le sujet, et malgré un peu de pratique, j'ai aussi énormément de mal à comprendre comment gérer les types géométriques dans les fonctions spatiales. Bien que la documentation soit claire sur les types pris en entrée dans les fonctions, elle l'est beaucoup moins sur les fonction permettant de convertir les types. Notemment lors de l'écriture de requêtes uniques, sans tables intermédiaires (ou à la rigueur avec des CTE).
Autant pour les multigéométries, St_Multi, St_Linemerge ou autre permet le plus souvent de passer en multigeometrie, autant l'inverse est complexe : ST_Dump produit une double geométrie qui peut entrer en conflit avec les contraintes geometry_columns, et la formulation avec les :: est aléatoire dans ses résultats.
Par ailleurs je n'ai trouvé aucun tuto clair sur ce sujet (passage de geometries simples à multi) et les nouvelles requêtes demandent de longs tatonnements.
Est-ce que que quelqu'un aurait de la documentation à ce sujet? Comment utiliser correctement les fonctions et les assignations de type (::) sans risquer de futurs conflits d'interprétation?
Merci, beaucoup, il ne me reste plus qu'Ă mettre tout ceci en place.
Cordialement,
JEDQ
Merci Tumasgiu,
J'ai filtré les objets en les changeant tous en "single" et je me suis rendu compte qu'il y avait des lignes. Après leurs occultations, la requête ne Nicolas fonctionne parfaitement et son temps de traitement de l'ordre de 3 minutes.
J'ai testé ta requête (post précédent), mais elle me renvoie un résultat vide, est-ce normal?
Ted
Bonjour,
une zone à un endroit et une autre à une autre, par exemple : sur une île.
Et alors, le centroïde de la commune il tombe parfois dans l'eau. Ça, c'est totalement inacceptable, d'un point de vue ... enfin, voyez quoi : ça ne va pas.
C'est pour cela qu'il existe la fonction st_pointonsurface()
Bonjour,
Merci pour vos réponses.
PA, j'ai fait une demande d'inscription sur le site, mais jusqu'à présent je n'ai pas eu de retour et ce juste avant de rédiger ma demande /mon message.
Je souhaiterais que dans l'organisation ait pas à passer par plusieurs intermédiaires qui finiraient par nous brider dans notre élan en cas de défaillance.
En effet cquest, l'objectif n'est pas l'association mais l'animation et dynamisation des différents acteurs sur le territoire.
L'idée, justement, est d'être reconnue et existé pour pouvoir être identifié. Je sais qu'il y a beaucoup de travail derrière, on l'a constater durant nos mapping parti et nos échanges. On est une dizaine, mais c'est souvent qu'on nous demande si nous sommes une association. On a déjà été approché par une université, mais pas manque d'existence le projet a été mis en attente.
Nous sommes preneurs pour tous types de soutiens.
Bonjour,
J'utilise la version 10.2.1 d'ArcMap, et je me creuse la tĂŞte depuis une semaine sans trouver la solution.
Je vous explique ! J'aimerais créer une sorte d'atlas présentant des entités (actions) sur un territoire donné. Pour ça, aucun problème, cependant lors de la création de pages dynamiques, plusieurs entités (de la même couche "Actions") apparaissent sur la carte. J'aurais aimé savoir s'il était possible de ne faire apparaître qu'une seule entité par page dynamique ; sachant que chaque page dynamique concerne une entité de la couche "Actions."
Faut-il passer par une sélection ? Par le module Python ?
Le titre (en mode Mise en page) se cale sur l'entité affichée et centrée, mais les autres (peut-être trop proches à ce niveau d'échelle 1/100000e) apparaissent sur la carte, ce n'est donc pas très "visuel" !
Merci beaucoup de votre aide.
PierAK
Bonjour Ă tous,
ça fait un moment que ce message a été posté mais je souhaitais faire remonter le sujet car je suis dans une impasse.
Tout d'abord, je travaille sous Arcgis 10.5. Je tente de faire fonctionner le script ci-dessus, c'est-à -dire, éclater un fichier.shp afin de créer un fichier.shp pour chaque ligne de ma table attributaire. Du coup, j'ai adapté les variables à mon projet en indiquant les bons chemins. Le script se lance et fonctionne en créant un .shp pour chaque ligne mais les fichiers générés sont vides, et n'ont donc aucune géométrie ?
Quelqu'un aurait une piste ? Une fonction que j'aurais oublié d'utiliser ?
Merci beaucoup.
Fritz
Bonjour et merci pour votre réponse !
Effectivement, je n'avais pas pensé à ces dépressions ou fonds de vallées qui génèrent également des contours ne contenant aucun contour. Après l'idée (mais je ne sais pas si c'est réalisable) ce serait de chercher des contours ne contenant aucun contour ET pour les quels le dernier contenant a une valeur d'altitude inférieure... Je suis déjà bien incapable de réaliser la première partie alors j'avoue que je suis bien en peine pour intégrer cette seconde condition...
Du coup j'ai effectivement regardé du côté des outils grass et c'est assez intéressant. J'ai essayé de suivre l'exemple et de l'appliquer à ma situation et le rendu semble effectivement assez proche de ce que je recherche. En revanche, je pense qu'il doit y avoir un moyen d'affiner ce résultat. En fait, lorsque l'on souhaite extraire les points correspondants aux sommets, Grass va générer un point pour chaque pixel. Du coup j'ai des sommets pour lesquels j'ai plusieurs points (2, 3,...) ayant pourtant des altitudes différentes. Je me suis donc demandé comment "simplifier" ce résultat. Voilà un peu ce que j'ai imaginé (sans trop savoir comment y parvenir, hélas) :
- Pour chaque sommet repéré, n'extraire que le point correspondant au pixel ayant la valeur la plus élevée (c'est en fait l'idée présentée dans la note présentée plus haut)
- Croiser cette donnée avec les courbes de niveau extraites au mètre (problème : il m'arrive d'avoir les 3 points d'un sommet dans un seul contour)
- Faire varier certains paramètres des algorithmes utilisés dans cette méthodologie : J'ai essayé de faire varier varier le "search" notamment, mais sans succès notable (si je met une valeur plus grande, fatalement j'ai plus de points en sortie...).
Je suis également étonné de certains résultats. En effet, cette solution semble identifier des "sommets" à des endroits où il s'agirait plutôt d'excroissances (souvent des crêtes ou des éperons). En même temps, j'ai des sommets (qui sont identifiés sur des cartes topo) qui ne sont pas repérés par cette analyse. Est-ce que ça pourrait venir des formes du terrain parfois un peu plus émoussées (sommet d'une colline ayant une forme très convexe par exemple)?
En tout cas merci pour ces éléments. Même si je fais des commentaires dessus ça me permet déjà d'avoir une bonne base de travail pour la suite !
Salut Ă tous,
J'ai ajouté un document:
il s'agit d'une série de questions réponses à un ingénieur de l'IGN:
Précision de mesure au GPS : Questions-réponses à Romain FAGES (IGN)
http://www.g-eaux.com/download/blog/Que … %27IGN.pdf
Pour moi ça clarifie assez bien les choses.
gégé