[Stage] Cartographe (H/F) Paris 2ième (75)
Créé en 2008, Neoen est un producteur indépendant d'électricité à partir d'énergies renouvelables (solaire, éolien, biomasse), et le premier acteur indépendant français à atteindre 1000 MW de puissance installée et en construction. Neoen est présent en France, en Australie, au Salvador, au Mexique, en Zambie, au Mozambique, en Jordanie, en Jamaïque, au Portugal et en Irlande. Les principaux actionnaires de Neoen sont Impala SAS (détenu par Jacques Veyrat), le fonds Capénergie II (géré par Omnes Capital), et Bpifrance.
Neoen a pour objectif d'atteindre en 2020 une puissance installée supérieure à 3000 MW.
Vos missions:
Encadré(e) par un responsable SIG, vous exercerez au sein du pôle « Développement France» qui est en charge des opérations de développement de projets d’énergies renouvelables.
Vous aurez pour principales missions de :
- Identifier des zones situées en France métropolitaine propices au développement de nouveaux projets éoliens et solaires (analyse cartographique, territoriale et concurrentielle, étude de préfaisabilité) ;
- Tenir une base de données des sites prospects identifiés devant faire l’objet d’une qualification par les chefs de projets en vue d’une possible contractualisation foncière ;
- Assurer le soutien cartographique aux chefs de projets dans les différentes étapes d’un projet dans sa phase de développement (réalisation de géotraitement, analyse spatiale, cartes thématiques...) ;
- Administrer et actualiser la base de donnés cartographique ;
- Développer en tant que de besoin des compétences et services annexes aux chefs de projets (photomontages, Zones d’Influence Visuelle etc.).
Votre profil:
- De formation Licence Pro à Master Spécialisé en SIG, vous possédez, outre vos compétences techniques (gestion et traitement de données géographiques, analyse spatiale), une grande créativité, un esprit dynamique, une forte capacité de travail et une réelle aptitude à travailler en équipe ;
- Vous maîtrisez absolument le logiciel de cartographie Mapinfo, pack office, logiciels Illustrator et/ou Photoshop ;
- La connaissance des logiciels Autocad et Windpro serait un plus.
- Permis B requis.
Vos conditions de stage
- Stage basé à Paris dans le 2ième arrondissement
- Durée du stage : Stage 6 mois minimum (fin d’études de préférence)
- Période d'arrivée souhaitée : le plus tôt possible
Dépôt de candidature à l'adresse suivante (CV et Lettre de Motivation) : contact-carto AT neoen.fr
Bonjour,
Je possède un compte personnel sur IGN, j'ai pris toutes les couches BD TOPO et consort pour expérimenter des développements.
Mais par contre, à partir de mon compte, je ne vois pas comment obtenir une clef pour Inspire et débloquer l'accès aux couches.
Comment cela marche t-il pour s'inscrire à Inspire, une fois que l'on a un compte "standard" IGN ?
Merci !
Marc.
Bonjour,
En informatique, un buffer est une zone mémoire tampon qui sert à déposer momentanément certaines informations pour les récupérer ensuite.
En hydraulique pluviale, on utilise des "bassins tampon", qui ont pour l'eau le même effet que pour les informations en informatique. Je me demande si Picassofull ne ferait pas allusion à cela ?
Bonne journée.
Venant de lire le géo-communiqué Décryptagéo suivant :
- Jacques Lévy remporte le Prix Vautrin-Lud 2018
moi qui écoute France Culture en modulation de fréquence chaque jour sur 93,5 MHz (et parfois même la nuit en cas d'insomnies), et consulte le site de la dite radio que je complète ensuite souvent par la consultation de l'encyclopédie en ligne Wikipedia, et sans être encore victime de ravages de la maladie de Alzheimer, il se trouve que très curieusement, ou pas, je n'avais jamais entendu parler de ce prof. Ni non plus du Prix Vautrin-Lud (peut-être qu'exerçant moi dans le domaine de l'informatique géomatique, la géographie est dans l'angle mort de mon rétroviseur personnel ??)
Jacques Lévy remporte le Prix Vautrin-Lud 2018
Jacques Lévy est le lauréat du Prix Vautrin-Lud 2018, le prix Nobel de géographie. Professeur honoraire à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne depuis 2017, où il a enseigné durant treize ans, il poursuit sa carrière à l’Université de Reims Champagne-Ardenne et au sein de l’association Chôros. Il vient de faire paraître un nouvel ouvrage.
http://www.decryptageo.fr/wp-content/up … _light.jpgJacques Levy (copyright EPFL)
Le prix Vautrin-Lud sera remis à Jacques Lévy le samedi 6 octobre dans le cadre du Festival international de géographie, organisé les 5, 6 et 7 octobre 2018, à Saint-Dié-des-Vosges, en Lorraine. La communauté scientifique désigne ce prix fondé en 1991 comme le «prix Nobel de géographie» en raison de ses critères stricts de sélection et de l’organisation du jury, calquée sur son modèle scientifique.
«Ce prix me fait plaisir. Mais avec moi, ce sont aussi les dizaines de personnes avec lesquelles j’ai travaillé durant toutes ces années qui le reçoivent. J’estime avoir réalisé les travaux les plus importants de mon parcours grâce à ces échanges» indique le lauréat dont l’espace politique, la ville, la mondialisation, la cartographie et la justice spatiale sont les thèmes de prédilection.
A l’âge de 8 ans, Jacques Lévy a été contraint à rester au lit de longues journées à la suite d’une hépatite. Il tombe alors par hasard sur un atlas qui le plonge dans un autre univers, une «rêverie cartographique» inespérée face à l’immense ennui de son quotidien d’alors. Il considère aujourd’hui cette expérience comme étant à l’origine de sa vocation de géographe.
Né à Paris en 1952, Jacques Lévy entre à l’École normale supérieure de Cachan au début des années 1970. Il est agrégé de géographie en 1974 et fonde en 1975 la revue EspacesTemps (aujourd’hui EspacesTemps.net) avec plusieurs camarades d’études, dont le géographe Christian Grataloup. «Notre objectif était d’abaisser les barrières entre les sciences sociales, la philosophie, la géographie et l’histoire», commente Jacques Lévy. Ce dernier enseigne alors en parallèle la géographie en Seine-Saint-Denis dans des classes du secondaire difficiles. Une expérience formatrice qui le mènera à s’intéresser à la didactique, aux enjeux sociaux de la connaissance et à prendre conscience de la nécessité de clarifier le vocabulaire théorique de son domaine d’étude.
De 1984 à 1993, Jacques Lévy est chercheur au CNRS où il termine son doctorat d’Etat. De 1993 à 2004, il occupe le poste de professeur aux universités de Reims et, de 1989 à 2007, de maître de conférences et de professeur à l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po). Il est nommé professeur ordinaire d’urbanisme et de géographie à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) en 2004 et y fonde le Laboratoire Chôros. En 2017, il obtient le titre de professeur honoraire de l’EPFL et crée avec plusieurs collègues, dont d’anciens chercheurs de son laboratoire le «rhizome» Chôros, qui regroupe une trentaine de chercheurs venus surtout de Suisse, de France et d’Italie.
Cette structure non-institutionnelle de «science citoyenne», comme l’indique son manifeste, vise à prolonger l’esprit du laboratoire fondé à l’EPFL et fermé en 2017. «Nous souhaitons apporter des contributions théoriques à des problèmes contemporains tels que la migration ou la justice. Notre but est de donner des outils de réflexion aux citoyens pour qu’ils se sentent plus libres dans leur prise de décision. Un municipal n’a pas forcément le temps de lire Kant, par exemple. Nous, en revanche, nous lisons Kant – et d’autres – et pouvons donc lui faire profiter de son utilité», explique Jacques Lévy. En parallèle, le géographe enseigne l’urbanisme et la géographie politique à l’Université de Reims. A Lausanne, Jacques Lévy a été directeur de la collection «L’Espace en société» aux Presses polytechniques et universitaires romandes (PPUR). Il a été nominé au «Grand prix de l’urbanisme» en 2017, attribué par le ministère français de l’environnement.
L’oeuvre de Jacques Lévy est foisonnante et ne se résume pas aisément en quelques lignes. De grands axes se dessinent toutefois à travers ses publications les plus citées, parues en son nom ou en collectif.
Le géographe consacre ses premières années de recherche à proposer une rénovation épistémologique de la géographie, grâce à un vocabulaire clair sur lequel il échafaudera par la suite ses travaux. «La géographie francophone avait renoncé à créer des concepts et à se mettre d’accord, par exemple, sur la simple définition de ce qu’est un «lieu». J’ai donc souhaité donner des définitions précises à chaque notion, un peu comme en mathématiques». Ce travail méticuleux trouve sa synthèse dans le Dictionnaire de la géographie et de l’espace des sociétés (Belin). Il co-dirige cet ouvrage de référence avec le géographe Michel Lussault. Le dictionnaire paraît en 2003 et est réédité et augmenté en 2013.
Avant cela, Jacques Lévy publie en 1991 Le monde: espaces et systèmes (Les Presses de Sciences Po), devenu depuis un classique. L’ouvrage offre une première réflexion sur la mondialisation et ses conséquences sur la notion d’espace, en reliant la géographie aux sciences sociales. En 1994, L’espace légitime. Sur la dimension géographique de la fonction politique (Les Presses de Sciences Po) se profile comme un plaidoyer démontrant l’importance de relier la géographie au social, notamment au travers de réflexions sur les cartes électorales françaises et sur la ville.
En 1999, Le tournant géographique. Penser l’espace pour lire le monde (Belin), introduit une géographie renouvelée, qui défend l’action sur la ville, sur l’aménagement, le monde et l’action politique. Confrontant toujours plus son domaine de prédilection à d’autres disciplines, Jacques Lévy s’intéresse dès 2005 au potentiel du numérique pour la géographie. Il publie en 2016 A Cartographic turn (EPFL Press), dans lequel il plaide pour un travail étroit entre la géographie et l’informatique, notamment à travers le traitement de données. Il y présente des cartes d’un genre nouveau, les cartogrammes. Ceux-ci visent à montrer le poids réel des villes dans le monde et représenter l’interconnexion d’une société mondialisée.
Le chercheur se fonde sur le logiciel de cartographie Scapetoad, en libre accès, qu’il a développé en 2008 grâce à un projet de recherche du Fonds national suisse de la recherche scientifique. «La mondialisation a mis en échec la carte euclidienne traditionnelle de représentation du monde, où la taille immense des océans prédominaient. Les réseaux, les liens entre les gens créent de nouveaux territoires, bien plus que les frontières d’un pays. Une carte du Monde produite par Facebook nous montre par exemple la trame géographique de la planète en représentant simplement les relations interpersonnelles», explique le chercheur.
Le 3 octobre est paru Théorie de la justice spatiale (Odile Jacob). Jacques Lévy y figure comme auteur aux côtés de deux anciens doctorants de son laboratoire de l’EPFL, Jean-Nicolas Fauchille et Ana Póvoas, aujourd’hui membres de l’association Chôros. L’ouvrage ouvre un nouveau champ de recherche autour de la géographie et de la justice. Son contenu souhaite démonter des idées reçues sur l’abandon des territoires périurbains, la redistribution de l’argent public et le rôle des «bobos» dans la mixité sociale. De quoi prouver à nouveau l’ancrage du géographe dans son époque qu’il passe au crible de multiples filtres disciplinaires, avec toujours la géographie comme fil conducteur.
Son nouveau champ d’expérimentation? L’art et la science. De 2009 à 2010, le projet de recherche mené à l’EPFL Cosmographies. Sources et ressources pour la cartographie contemporaine a mis en relation des cartes historiques à celles produites par des artistes contemporains ces vingt dernières années. En 2013, Jacques Lévy poste sur internet le film scientifique développé à l’EPFL Urbanité/s (disponible sur vimeo) et, en 2015, Thinking places, une série de neuf films qui explorent des lieux du monde à travers l’un de ses chercheurs (disponibles sur vimeo). «Les artistes contemporains nous inspirent, nous géographes. Ils explorent depuis une dizaine d’années l’espace individuel, notamment leurs propres déplacements. Je souhaite apporter un complément scientifique à leurs travaux avec l’idée de problématiser les nouvelles questions qu’ils révèlent», souligne le géographe qui projette déjà d’explorer les langages de la danse contemporaine en collaborant avec une chorégraphe.
A propos de Jacques Lévy…
«La géographie s’est imposée comme la science de la ville en combinant trois approches: d’abord une théorie de l’espace social qui dépasse la définition empirique que cette discipline s’était longtemps donnée de ses objets au profit d’une étude méthodique de l’expression spatiale des rapports sociaux ; ensuite, un dialogue renforcé, non plus seulement avec cette vieille complice qu’était l’histoire, mais avec toutes les autres sciences sociales, de la sociologie à l’économie en passant par les sciences politiques et l’anthropologie; enfin un engagement décidé dans la politique de la ville par l’intermédiaire des recherches en urbanisme et en aménagement du territoire. Jacques Lévy a été le pionnier de ce renouveau et l’une des figures centrales de son accomplissement.» Philippe Descola, Collège de France, Paris, France
«Je connais Jacques Lévy depuis longtemps et j’ai eu l’occasion de l’apprécier sous le profil professionnel et humain. La vaste culture moderne et classique ainsi que les connaissances linguistiques qu’il possède lui permettent de saisir les diversités sociales du monde contemporain. Ses études sur la ville et sur la mondialisation sont bien connues en Italie, où il figure parmi les géographes les plus innovants et visionnaires. Les expérimentations cartographiques qu’il a menées au Laboratoire Chôros de l’EPFL sont en train de révolutionner le rôle de la représentation cartographique pour la compréhension de la mobilité et du dynamisme social. J’apprécie aussi son humanité et sa sensibilité. Avec intelligence, il saisit les aspects les plus profonds de l’autre et, avec ironie et légèreté, il les joue en créant une profonde empathie. Je crois que l’attribution du Prix Vautrin-Lud est la reconnaissance adéquate et due au chercheur et à l’homme qui a bien compris le monde et ses habitants.»
Emanuela Casti, Professeure de géographie, Università degli Studi di Bergamo, Italie
« It is a pleasure to learn that the Prix Vautrin-Lud for this year has been awarded to Jacques Levy. I have known of Jacques and his original research and writing in urban and political geography for many years. He is a worthy recipient of this honor not least because of his dazzlingly innovative cartographic work and his role in encouraging new ideas about place and the production of knowledge. I have enjoyed working with Jacques on a number of occasions, so I can also attest to his skeptical wisdom tempered by wit and humanity. I can think of few other contemporary geographers who have had the impact on my own work that I would attribute to Jacques. »
John Agnew, Professor of Geography and Italian, UCLA, Los Angeles, Etats-Unis
«Le Monde n’a pas d’ennemi, il a des problèmes». Combien de conférences ou des cours ai-je conclu par cette citation de Jacques Lévy, accompagnée d’images de Martiens? Je ne le sais plus depuis longtemps. Cet aphorisme intègre sa réflexion sur l’émergence d’une société mondiale, autant qu’un dialogue permanent avec l’ensemble des études du social, démarches dont nous débattions avec une rage juvénile, en nous cognant aux vieilles épistémologies, de la géographie comme d’autres disciplines, au début des années 1970 et qui déboucha sur la création de la revue EspacesTemps. S’il y a un regret que je n’ai pas eu dans ma vie professionnelle, ce fut bien de n’avoir jamais cessé cet apprentissage constant par la confrontation avec la pensée, écrite, dite et débattue de Jacques. Merci à lui.» Christian Grataloup, géographe, professeur émérite à l’Université Paris Diderot
«Ce que la géographie doit à Jacques Lévy? La preuve que l’espace, à toutes ses échelles, du corps au Monde, est politique, toujours-déjà en jeu dans les relations de pouvoir. Ce que les sciences sociales doivent à Jacques Lévy? La preuve que l’idée d’une compréhension des sociétés contemporaines sans prise en compte de leur dimension spatiale est une impasse — trop souvent empruntée hélas. Ce que les géographes doivent à Jacques Lévy? La preuve que le débat théorique et conceptuel, fût-il rude, est indispensable à la dynamique des savoirs et au décloisonnement des pensées.» Michel Lussault, géographe, Professeur d’études urbaines à l’Ecole Normale Supérieure de Lyon
«La présence de Jacques Lévy dans notre école a laissé des traces importantes. Sa contribution fondamentale aux rapports entre géographie et sciences sociales, et plus particulièrement entre géographie et architecture, est la réflexion constante sur la notion d’espace – une réflexion fondamentale pour ces deux disciplines. La nécessité de se référer constamment au concept de lieu plutôt qu’à celui d’espace a constitué le terrain fertile d’un échange continu avec la discipline architecturale, tant au niveau pédagogique qu’au niveau de la recherche. « Penser l’espace » est d’ailleurs le titre des séminaires doctoraux auxquels j’ai eu le plaisir de participer, en y découvrant chaque fois des thématiques nouvelles. À ce titre, la leçon de Jacques Lévy pourrait se résumer à ce qu’il a écrit dans son important « Le tournant géographique » : « L’esprit des lieux – ce qui fait qu’un espace est à la fois semblable et distinct d’un autre espace – n’est ni un fantasme, ni une spiritualité irréductible, il existe. S’exercer à le voir, l’apprivoiser, le penser.» Luca Ortelli, architecte, Professeur ordinaire, directeur du Laboratoire de construction et conservation, EPFL, Suisse
Liens
Biographie de Jacques Lévy
HABITER / Université de Reims
Chôros place (association)
Article d’espace-temps.net paru le 26.07.2018
Article du Courrier international paru le 31.08.2018
EPFL Actualités du 08.11.2016
EPFL Actualités du 03.10.2017
EPFL Actualités 26.01.2014
MOOC EPFL
Podcast de France Culture
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Jacques Lévy
Professeur honoraire EPFL, Professeurs des universités, université de Reims ChampagneArdenne
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Sandrine Perroud, Service de presse EPFL
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E-mail: sandrine.perroud AT epfl.ch ou presse AT epfl.ch
Marie Odette Victor, direction de la communication Université de Reims Champagne-Ardenne Tél. : +33 6 75 65 00 32
E-mail: marie-odette.victor AT univ-reims.fr
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merci tumasgiu
SI le résultat est une géométrie 3D,
c'est qu'il y a certainement un des deux opérandes qui l'est.
oui mes routes..et je l'ai réglé...
merci pour le coup de main
la requête est correcte mais par contre les lignes ne sont pas découpé en fonction du buffer.???
Bonjour,
Merci à 2click!
Avec l'extension Openlayer je n'avais plus accès au fond de carte Google satellite via QGIS (version 2.18.15).
Avec le plugin QuickMapServices ça fonctionne à nouveau.
Attention, par défaut, à l’installation de l'extension, on n'a pas accès à l'ensemble des services.
Il faut aller dans "settings"du menu QuickMapServices puis dans l'onglet "more service" cliquer sur "get contributed pack".
LÃ , l'icone Google s'affiche dans le menu de QuickMapServices et on peut charger Google satellite.
Bonne journée,
Carol
Bonjour
Point de vue intéressant de Charles Népote de FING :
https://dataanalyticspost.com/il-est-te … open-data/
Cordialement
Bonjour,
UK Hydrographic Office to unlock the value of location-based information as part of Geospatial Commission :
https://www.gov.uk/government/news/uk-h … commission
--Peio
Au passage, les outils de saisie de lignes, polygones, et éditions de vertexes sont arrivées dans QField pendant la hackfest de Zanzibar :)
Régis,
Je pense que tu as bien compris le problème, seulement ce serait une délimitation de zone de distance fixe (e.g. 50m), selon le critère d'altitude du MNT.
Précédemment j'utilisais les buffer, peut être qu'effectivement le problème change.
Je pars fouiller un peu GRASS.
(Ou le site avec ce nouveau mot clef)
Si quelqu'un a une solution qui marche je suis pas contre non plus 0:) J'essaierai de poster la mienne dans tous les cas à la fin.
ok..merci..
ST_DWithin est trés bien mais j'aimerais que les lignes soit decoupé dans le resultat...
j'avais essayer
mais cela me renvoyait des points avec une dimension 3d ??
Bonjour,
En baissant la résolution d’export à 100dpi.
En baissant ce paramètre, les lignes sont de plus en plus fines , et inversement.
En faisant un test, décocher l’option (QGIS3) « Export RDF metadata » car le fichier SVG devient invalide sur Illustrator CC 2017.
David
Bonjour,
La dernière version de pgAdmin 4 (3.4) corrige un problème d'autocompletion sur les schema non public : https://www.pgadmin.org/docs/pgadmin4/3 … l#features
un super lien sur Qfield :
https://www.sigterritoires.fr/index.php … r-android/
Aussi, le plugin QFieldSync qui permet de transférer facilement un environnement de travail qgis : .qgs + data vers terminal mobile smartphone ou tablette
Les plus pour moi :
- ergonomie, interface épurée
- Lien avec qgis : styles même farfelus repris, formulaires
- Saisie de photos facile et enregistrement de celles-ci dans sous-dossier attenant au .qgs sur le terminal
Les moins :
- pas réussi à faire fonctionner les TMS
Evolutions possibles :
- saisie de lignes point par point (mais possibilité de s'accrocher à sa localisation). une fonction de création automatique de lignes par intervalles réguliers serait super
- fonctionnalité de dictaphone
Il faudrait que je suggère ces fonctionnalités sur le hub qgis si ce n'est pas déjà fait.
En tout cas, lors d'une présentation, j'ai suggéré aussi au Min. de financer ces implémentations. Ce serait top
Application top selon moi
Bonjour,
https://github.com/ChristopheVergon/Int … geo1.2.zip
Si une géométrie de parcelle, bâtiment, subsection, lieudit pose pb la référence de l'erreur et l'identifiant de l'objet Edigéo sont inscrit dans le fichier log du lot concerné.
Bonjour,
Sous QGIS, le plugin group stats sera d'une bonne aide, si nécessaire après une intersection/jointure par localisation si croisement de couche maille avec couche vectorielle à requêter
En attendant, merci de poster le sujet dans le forum approprié, à savoir Géo'BD
https://georezo.net/forum/viewforum.php?id=31
Bien cordialement
Bonjour,
L'outil ajouter une partie devrait faire l'affaire: tu ajoutes une nouvelle partie puis supprimes l'ancienne. Si ces deux géométries devaient se superposer, il faudra alors préalablement supprimer la première géométrie: à l'aide de l'outil nœud, tu sélectionnes tous les sommets et del. Voir https://docs.qgis.org/2.18/fr/docs/user … operations et https://docs.qgis.org/2.18/fr/docs/user … l#add-part
Par contre, je n'ai pas bien compris de quel id tu parles mais s'il s'agit du résultat de $id, je pense qu'il vaudrait mieux ne pas baser tes données sur une valeur que tu ne maîtrises pas et qu'il vaudrait mieux avoir un champ propre (quitte à le calculer initialement sur cette base).
Bonjour Pascal,
Nous allons migrer tout ça rapidement (dans la temporalité du bénévolat)